Histoire de comptoir

"Oui oui, çà vas mieux, se sont pas quelques médocs qui vont m'avoir, mais dit dont Betry c'est une impression ou ton Major te plait énormément ?" dit il un sourire au coins.

La jeune femme n'entandait même pas se qui se disait sur elle autour, elle fini de reflechire sur sont verre et se decida a le vidé. Elle s'en servis un autre puis le vida et recomanca l'opperation jusqu'au 9eme.
Elle remplit de nouveau sont verre et elle nota une chose etrange ... la surface du verre etait de plus en plus irreguliaire. Non seulement le verre ondulait mais aussi le comptoire, le barman, Betry, Alek ... bref ils avait des vagues a la surface de toutes les choses presantes dans le bar ... elle n'entandait plus très bien non plus ... etrange ...

-Dites, vous avez pas chaud vous ? demanda elle a très haute voix au deux trooper qui se trouvait non loin d'elle.

Se rappellant de mauvais souvenir lorsque Tsukiyo dis cette phrase, Alek montra une pointe d'angoisse dans son regard, et répondis :

Non Major, il fais froid, ce n'est qu'une impression. On est loin d'une température chaude.

- Comment sa froid ?, je ne suis pas folle je creve de chaud ! dit elle en essuillant d'un rever la sueur sur sont front. Et puis ne dites pas que je suis ivre parceque j'ai jamais été ivre de ma vie !, et puis j'ai bu que ... bein ... une boutelle. ajouta elle en ajitant la bouteille de Juma vide sous le nez de ses deux compèrs. lorsque soudain, elle s'ecroula raide sur le comptoire.

"Et voila!" Prévint Guarg "Je savais que sa finirait comme ça! ahahah! Betry! Alek! Raportez là dans ses quartiers! Et doucement avec la marchandise!"

Pas très joli le spectacle auquel Betry venait d'assister.

Betry ne supportait pas de voir les gens ivre mais là il fut choquer de l'attitude du Major.

Une personne de son rang avec ces responsabilités et de plus c'est une femme, elle pourrait avoir un peu plus de classe pensa-t-il.

"Bien Guarg, on va l'emmener. Vous êtes prêt mon commandant on la soulève à 3. 1 ... 2 ... 3"

Alek poussa un grognement lorsqu'il souleva le major :

"Ce n'est que l'armure, ce n'est que l'armure..." se dit-il

"Bon par contre y en a un troisième qui peut nous aider pour les portes parce que sinon on est mal barré là ."

Guarg éclata de rire:

"ahahahah! Servez vous-en comme belier!"

Puis regardant autour de lui, il vit quelque regard indigné tourné vers lui.Il se senti un peu honteux.

*oulala* Pensa t-il.*Sa ne me réussi pas cette boisson* dit il en repoussant son verre.

Une goutte de sueur perla sur la joue d'Alek, témoignage de sa retenue pour ne pas insulter le chevalier jedi, pour son humour au combien....aucun mot n'est assez fort pour décrire la nulitée de cette blague
"Dites Guarg, vous pourriez ouvrir les portes au lieu de nous proposer vos alternatives, qui son pour ma part inéfficaces"

Se dépêchant d'aller ouvrir la porte, Guarg s'adressa à Alek:

"Vraiment désolé, je ne suis pas dans mon état normal... Si vous pouviez éviter d'en parler au Major Tsukiyo..." Dit-il confu.

ce n'est pas du noir qui avais devent les Yeux de Tsukiyo mais plutot un amas de couleurs censé etre quelque chose mais deformé par le taut d'alcool assez ellevé present dans sont sang.
Elle se sentait légère, comme si elle planait au dessus du sol. Elle mis 30 bonnes seconde a comprendre que se n'etait pas l'effet de l'alcool mais qu'elle etait transporté par deux personne qui ne portait aparament pas grand interret a leurs patiante.

- Me ... secou...ez p... pas comme ... sa. reussi elle a baragouiné.

Elle sombra ensuite dans l'inconsiance.

L'homme avançait dans le couloir d'un pas lourd. Son arrivée avait fait remonter en lui de vieux souvenirs, des douleurs cuisantes. Il se contempla dans la paroi métallisée du tunnel d'acier.
Son regard était plus las que jamais. Son habituelle barbe de trois jours avait laissée place à une touffe de poils hirsutes, ses cheveux avait poussé jusqu'à lui arriver presque aux épaules. Sa barbe restait néanmoins vierge le long de sa cicatrice sur le flanc gauche de son visage, donnant un côté dérangeant au tableau. Son armure autrefois luisante était usée de partout, ses mouvements trahissaient une une musculature athlétique traînant un poids immense. Il se demanda si même un seul d'entre eux allait le reconnaître.
Il pénétra lentement dans la salle légèrement enfumée, où les conversations allaient bon train. Il les fixa un par un. Chacun d'entre eux représentait une bataille, un souvenir... une cicatrice. Le barman cessa d'essuyer son verre humide.

Il resta ainsi, debout devant l'entrée, sans un mot, durant deux minutes. Puis il consentit à ouvrir la bouche et lâcha un vague " 'lut", d'une voix raillée et fatiguée.
Il s'assit au bar et commanda un Kah-Fe, après quoi il tira une cigarette tordue d'un paquet miteux. Il tenta plusieurs fois de l'allumer, sans succès, son briquet refusant désespérément d'émettre la moindre flammèche. Il se tourna lentement vers le contrebandier aux cheveux gris, qui lui aussi fumait. Il le fixa, un sourire s'afficha sur ses lèvres.

"T'aurait du feu, camarade ?"

Kreshtar, qui était perdu dans ses pensée depuis un bon moment maintenant, entendit une voix qui lui semblait étrangement familière. Il tourna la tête et vit une silhouette qu'il ne pensais pas revoir de sitôt. Lorsque ce dernier s'assis à côté de lui en demandant s'il avait du feu, Kreshtar souria de toutes ses dents et lui tendis un briquet en ivoire clairement usé par le temps.

- Il s'appelle reviens.

Kreshtar scruta son vieil ami de pied en cap avant de lui parler.

- Alors tu d'viens quoi toi ? T'as bourlingué apparemment au vu de ton...je sais même pas si je peux appeler ça une armure d'ailleurs.

En disant cette dernière phrase, Kreshtar souria et commanda deux verres d'une sorte de liquide marron-vert au tenancier.

L'homme alluma sa cigarette grâce au briquet que venait de lui prêter ce contrebandier familier. Il tira de longues bouffées, puis rendit l'objet à son propriétaire.

"Merci."

Il but une gorgée de son verre et pris une respiration de plus sur sa vieille cigarette, avant de répondre d'une voix usée et méconnaissable:

"On peut dire que t'as l'oeil toi hein ? Après la dissolution de notre groupe, j'ai rejoint et mené une guérilla sur une planète impériale. Mon frère m'a suivi. On a vécu comme ça, plusieurs mois, comme on a toujours vécu... par le combat. Et puis, il y a un an. On s'est fait balancer. Une taupe a révélé aux impériaux l'emplacement de notre QG. L'attaque a durée moins de vingt minutes, en pleine nuit. Une vraie boucherie."

Salao s'interrompit, les yeux dans le vague. Il semblait refouler des pensées malsaines. Il avala une gorgée de plus.

"On a été fait prisonniers, Soran et moi. Ils nous ont torturés, des jours entiers, pour savoir ou se trouvaient les bases secondaires, dont seuls les leaders connaissaient l'emplacement. Ça n'a rien donné. Alors ils ont commencé la torture mentale. Ils amenaient des femmes et des enfants devant nous, et ils ont commencé à les exécuter. De sang froid. Je refusais toujours de parler."

L'homme laissa planer un lourd silence, il fixa son vieil ami dans les yeux et continua de fumer sa cigarette. Il finit par conclure:

"Enfin bref, j'ai eu de la chance. La république a attaqué la base juste après. Mais avec mes blessures, j'ai été laissé pour mort. Je n'ai jamais retrouvé la trace de Soran, et j'ai dû mendier dans les taudis jusqu'à ce que je vois un nom familier écrit sur une affiche holographique... Et toi, comment ça va ?"

La pointe de sarcasme n'aurait pu être plus évidente.

Silencieusement, Kreshtar écouta son ami. Lorsqu'il eut fini il opina du chef d'un air grave et pensif.

- Perso j'ai pas eu de mésaventures si hautes en couleurs si j'puis dire. J'ai fait deux trois trafic jusqu'a ce que ce vaisseau s'offre à nous. Après...ben je dirais que j'ai pris mon destin à bras le corps et me voila ici.

Il pris son verre et le vida d'un trait avant de reprendre.

- En tout cas, ça fait plaiz' de t'revoir dans l'coin.

"Mmh, de toutes façons c'était ça ou je continuais à bouffer dans les poubelles... Mais ça fait plaisir de vous revoir, vous tous. Peut être que Soran reviendra ici aussi un de ces jours."

Il vida son verre d'un trait.

Betry après avoir porter le Major jusqu'à ses quartier avec l'aide d'Alek et de Guarg était de retour au bar pour prendre un ka'wa.

Quelle fut la surprise lorsqu'il reconnu l'homme assis à côté de Kresh, c'était Salao, c'était le commandant Sorcl.

Il avait l'air d'avoir beaucoup souffert.

Il s'approcha et le salua d'un garde à vous exemplaire.

"mes respects mon commandant, heureux de vous voir ici. Puis je me joindre à vous" en regardant Salao et kresh attendant une réponse.

Salao, accoudé au comptoir, regarda le soldat effectuer un salut militaire devant lui, alors même qu'il ressemblait plus à un clochard qu'à un commandant. Il eut un petit rire et répondit au soldat:

"Repos, soldat Betry. Et ce serait un plaisir de partager à nouveau un verre avec vous. Je vous en prie, j'ai hâte d'entendre comment vous en êtes arrivé ici."

Il lui tira une chaise à côté de la sienne.

Betry pris la chaise avec grand plaisir.

Il s'assit et commença à raconter son histoire.

Comment il avait tout d'abord suivi ce qui restait des Cerberi, l'autre partie, dans une aventure que se termina de la même façon que la précédente, c'est à dire par l'abandon.

Qu'il avait repris contact entre temps avec Cesix et les autres qui l'invitèrent à venir sur le vaisseau.

Enfin il raconta, qu'avant de rejoindre le vaisseau, il avait été reçu à l'ARC où il avait obtenu sont grade de sous lieutenant dans l'armée régulière républicaine.

"voilà mon commandant en résumé, et vous peut être auriez vous envi d'une bonne douche et d'une tenue un peu plus appropriée"

En entendant les derniers mots de Betry, Kreshtar étouffa un rire. Il vida ensuite son verre et fit un signe au barman pour qu'il amène un pichet et un verre supplémentaire.

Une fois le pichet arrivé, Kreshtar remplit les trois verres en silence et leva le sien.

- Je propose de trinquer aux retrouvailles mes amis et à notre futur qui s'annonce sous de beaux jours !

Betry leva son verre près de celui de kresh:

" c'est bien dit Kresh. A nous tous ! " cria Betry pour que tout le monde présent l'entende.

le noir fit peut a peut place a une image, sombre certe, mais une image tout de même, elle distaigait a presant les mur de sa cabine.
La jeune femme se redressa et pris sa tête entre ses mains sous l'effet de la douleurs.

- Bravo Tsukiyo ... ta première cuite, tu devrait etre fière ... se dit elle ironiquement ... t'a du passé pour une devergondé de premiere devent toute l'assistance.

Elle se leva et s'ettona de tenir debout, bien que le sol ne soit pas tout a fait stable, elle tituba jusqu'a l'infirmerie après avoir retiré sont armure et enfilé un uniforme de sortie plus confortable.
Elle ouvrie un placard et en sortie une petite fiole d'adrenaline, elle pris ensuite une seringe dans un tiroire et la remplie du contenu de la fiole. Elle se l'injecta ensuite dans l'avent brats et attendie quelque minute.

- Hum, Je tien mieux debout mais sa ne calme pas la douleur ... pas grave j'ai connu pire.

Elle se diriga ensuite vers le bar d'un pat plus assuré pour y adressé des excuses publique pour sa conduite execrable bien que légitime selon elle.

Guarg, revenu de la cabine de Tsukiyo, s'asseilla près de Cesix et écouta les conversations diversent sans y preter réelement attention. Il était seulement heureux que tout le monde soit réuni.

"malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin..." se dit-il en pensant à leur avenir malgré lui.

Salao suivi ses compagnons dans le toast porté par Kreshtar. Il vida son verre cul sec et continua sa discussion avec son ami Betry:

"C'est vrai que je n'ai pas pris soin de mon apparence depuis très longtemps... Une bonne douche s'impose. Messieurs, à plus tard !"

Il se leva et sortit de la salle d'un pas lourd, se dirigeant vers les quartiers d'équipage.