Histoire de comptoir

En entendant parler le commandant, Betry se tourna vers Kresh.

"Désolé Kresh mais le commandant vient juste d'arriver et il a déjà ses propres quartiers ? " d'un air très perplexe.

" Ce n'est pas que je suis jaloux ou quoi que ce soit, d'ailleurs il est commandant et moi ici je ne suis rien d'autre qu'un soldat pour l'instant mais ça fait un petit moment que je suis là et j'aimerais bien poser mes affaires quelque part. ca m'éviterait de me trimballer avec tout mon matos "

Betry désigna dans un coin du bar un gros tas de caisse avec son logo, le même qui est tatoué sur son cou, et son nom dessus.

"Ah moins que mon commandant ... " Betry regarda Alek " vous pouvez peut être aussi m'aider sur ce point là en attendant que je puisse poser ma candidature pour de bon"

En attendant une réponse, Betry s'accorda une pause clope et en proposa à Kresh et à Alek.

Kreshtar écouta Betry et répondit :

- En fait, les chambres sont en construction actuellement. L'eau chaude sanitaire et les spas sont en train d'être finis. Après ça un peu de peinture et ce sera finis. Encore un tout p'tit peu de patience mon cher.

Kreshtar souria et pris le pichet pour s'apercevoir qu'il était vide. Il fit un signe au tenancier pour qu'il le remplisse.

Refusant la cigarette de Betry, un esprit sain dans un corps sain, Alek confirma les dire du contrebandier :

"En effet soldat, nos chambres ne sont pas totalement prête, donc on fait son petit coin comme on peut, je peux pas t'aider pour l'instant, désolé."

Tsukiyo croisa Salao dans le couloir et s'arreta devent lui ...

- Salao ? ... demanda t'elle d'un aire ettoné ... J'a degrisé pourtant ?

Cesix n'avait pas fait attention a l'agitation causé par Tsukiyo.
Il s'adressa a Guarg

"Une fin ? de quoi parlez vous , mon cher ?"

Salao répondit à Betry sans s'arrêter:

"J'me débrouillerais bien pour trouver une cuve d'eau chaude..."

Il croisa une jeune trooper dans le couloir, apparemment pas encore tout à fait sobre, qui la regarda avec des yeux comme des soucoupes. Il lui adressa un signe de main et continua son chemin.

Surpris, Guarg regarda Cesix qui s'adressait à lui.

"Pardon... Je pensais à voix haute..."

Salao passa sont chemain sans même prendre la peine de lui repondre, l'avait elle reconu ? ou fesait elle si peur a voir ?, n'appreciant pas vraiment d'etre ignoré, sont caractaire impulsif repris le dessu et elle se touna vers Salao.

- Eh oh !, tu pourait au moin saluer convnablemant la personne a laquel tu doit ton magnifique rein artificiel ?! lui lanca elle avec le ton insolant dont elle avais le secret.

En entendant la jeune femme lui hurler dessus, le trooper se retourna et envoya avec un grand sourire à demi masqué par sa barbe:

"Oh, tu m'as vraiment reconnu alors ? Ou c'est peut être l'alcool qui te joue encore des tours ? Content de te revoir, petite, essaye de ne pas en faire une habitude ! (il mima de sa main droite le vidage d'un verre)"

la trooper devisaga Salao deux seconde et lui repondit d'un sourire amère.

-Désolé, se que j'ai fait n'est pas digne de moi, mais sais tu se que que sa fait a un Jedi d'etre coupé de la force ?, connais tu cette intance douleur suivie de cette sesation de vide absolue ?, comme n'etre qu'une coquille vide, vide de tout, vide de sense, vide d'energie, vide d'espoire, sans aucun avenir et avoir l'impretion de ne pas avoir de passé ? ...

Elle maqua une pause ...

- ... Non, bien sur tu ne le comprend pas, tu ne peut pas le comprendre, je ne sais pas pourquoi je te dit sa a toi, surment parceque je te connais depuis le tout debut et que je sais que je peut te faire confiance ...

Elle marqua une nouvel pause ...

- ... Mais je veut bien te l'expliqué si tu veux ...

Salao prit un air grave.

"Non, je ne sais pas ce que ça fait. En revanche ce que je sais, c'est qu'à partir du moment ou vous avez enfilé cet uniforme (il désigne du doigt les vêtements de la jeune femme), vous représentez la République, major. Si ce fardeau est trop lourd pour vous, alors je vous conseille de quitter l'armée et ce vaisseau tout de suite, sinon, je ne veux entendre aucune excuse sur votre comportement."

Il fixa la jeune femme de ses yeux bleus profonds, de ce fameux regard brûlant qui lui était caractéristique. Puis son visage se détendit, et d'un air plus chaleureux il lui dit:

"Tâches de tirer un trait sur tout ça."

Tsukiyo etait vraiment surprise de la reaction de Salao, pourquoi lui avait il fait la morale, elle qui avait avoué et qui s'etait excusé de sont erreur ?

- Mais Salao ... que ... J'ai ... ?

Tetanisé sur place par le serieux de sont amis, la jeune femme nagait dans l'incompreantion la plus total, pourquoi la faire soufrire d'aventage de part des paroles rabaissante ?, n'avait elle deja pas assez souffère ?.
Elle se ressaisie et pris la parole.

-Je ... je croyais ...

Tout se qui put sortire, fut une larme qui roula sur sa joue, pas moyen que les mots suivent, elle ne pouvait se resoudre a se que sont amis la laisse tombé, elle se retourna donc et marcha d'un pas lent vers nul part, quelque part dans le vaisseau ou elle pourait reflechire tanquilement.

Salao regarda partir la jeune femme, et soupira d'un air triste. Si jeune pour cette guerre... L'armée et la hiérarchie ne laissent pas la place pour les sentiments et l'amitié, c'était à elle de s'en rendre compte et de faire abstraction de son passé de jedi.

Il continua sa route vers les quartiers, encore en rénovation. Des mécanos et ingénieurs vaquaient avec plus ou moins d'excitation à leur tâche. Il finit par trouver une chambre dont la salle d'eau fonctionnait en se rencardant au responsable des travaux de ce niveau. Il entra et passa sous la douche crachotante après s'être déparé de ses affaires usées. Après plusieurs minutes il contempla devant le miroir de la pièce son visage humide, sa barbe et ses cheveux détrempés. Il se saisit d'un vieux rasoir manuel. Pas assez de budget pour les droïdes barbiers, pensa-t-il.


Salao passa sa main dans sa barbe propre. Il avait conservé une taille de trois ou quatre centimètres, et coupé ses cheveux de façon à les avoir mi-longs. Il approchait désormais de la quarantaine, des petites rides se formaient aux coins de ses yeux. Il se retourna et contempla son armure anéantie par les années. Il souri, puis enfila une tenue légère: tunique, foulard et pantalon usé corellien. Il fixa tout de même par dessus ses avant bras républicains, sa ceinture multi-fonction ainsi que ses genouillères et et une épaulière, et enfila ses gants salis en attendant de retrouver une armure convenable. Puis il sortit des quartiers en rangeant un blaster dans son holster de ceinture et sa vieille vibro-dague. Puis il repartit vers la cantina de bord.

[HRP] Ben Kirilh, non on se connait pas vu que ton personnage n'était pas chez les Cerberi [/HRP]

Assise dans un angle de couloire la jeune femme sortie sont Sabre laser, relique d'un passé desormais revolu car même si elle voulait l'utilisé, elle courait le risque de se blessé elle même avec . Elle observa l'objet en le fesant passé entre ses doits pendant quelques minutes.

- Je ne comprend pas pouquoi Salao m'a dit sa ...

Elle pressa doucement le bouton du Sabre et la Lame du Haut jaillit en iluminant le couloir de sa douce lueur verte. Cette même lueur qui avait toujours été avec elle et qui ne l'avait jamais laissé tombé, elle.

- En fait le seul vrais amis que je n'ai jamais eu, c'est toi dit elle a sont sabre

Elle le sentait, les chose avait changé, Salao ne la voyait plus comme une amis, les autres non plus sans doute d'ailleurs. Après ses Trois Maitre lorsqu'elle etait jedi, maintenant c'etait ses amis qui la lachait. Elle ramena l'extremité de sont Sabre qui n'etait pas alumé sur sont front.

- Veux tu bien me rendre ce service mon amis ?

Sont doit effleura doucement la surface lisse du bouton d'activation de la deusieme lame. Elle s'apreta a apuillé et a mettre fin a ses soufrances lorsqu'un "Ne fait pas sa" raisona dans sa tête.
Elle ecarta brutalement le sabre de sont front et la lame d'energie lui blessa le genoux au passage.

-AH ! mais que ? ...
La voix resona un fois de plus dans sa tête "Contrairement a se que tu peut croire, tu est importante au yeux de certaine personnes ...".

Elle eteignit sa lame et se leva, elle connaissait bien cette voix mais n'arrivait pas a mettre un visage dessu, pourtant elle etait sur de connaitre l'homme qui lui parlait.

-Qui est la !? ... pas de reponse

elle pesta et se mit douloureusement a avencé vers l'infirmerie.

Betry rangea son paquet de clope. En entendant la commande de kresh :

" Celle là est pour moi Kresh "

Betry tira une taffe avant de reprendre

" Tu sais Kresh , si je peux filer un coup de main. J'aimerais bien me rendre utile. Tu sais toutes ses heures à l'académie pour devenir officier m'a un peu rouiller j'aimerais bien un peu d'action."

Betry attrapa le pichet que venait de lui donner le Barman et servis ses comparses.

" Et vous commandant vous pensez que je pourrais occuper des fonctions avec certaines responsabilités. Vous me connaissez, vous connaisseez mon CV qui c'est bien étoffé d'ailleurs"

Betry désigna avec un sourire ces galons tout neuf de sous lieutenant

" Je sais que je n'ai pas eu encore l'occasion de les dépoussiérer sur le terrain bientôt j'espère" en regardant le commandant droit dans les yeux.