Bonjour chers Matelos
Je viens vous présenter la structure de la Section 2002, alias le Commando d'Elite de la République.
Ce document vous donne la possibilité d'en savoir plus sur l'organisation de la Section 2002.
Bonne découverte et bonne lecture.
Note importante : cette structure est purement RolePlay et est dédiée aux personnages que nous jouons. La structure de la Guilde CER est visible sur cette page de notre site Internet : http://swtor.cer-mmorpg.com/communaute/qui-sommes-nous/La structure de la Section 2002Quelques mois après le lancement du projet de la Section 2002 par Alfala Bucro, le Haut Commandement des Opérations Spéciales lui demanda de présenter une structure qui montrerait la place de chacun au sein de la section.
Commandant en chef de la Section 2002 Le commandant en chef de la Section 2002 est un homme nommé Alfala Bucro. C’est un vétéran de l’Armée de la République. Alfala est un officier qui a fait partie, entre autres, du 6ème Corps d’Assaut et du 4ème Corps Stellaire durant la Grande Guerre. Sa dernière affectation connue fut en tant qu’instructeur à l’Académie militaire de Coruscant. A l’origine du projet de la Section 2002, c’est tout naturellement qu’il se retrouva au poste de commandant en chef. Le coruscanti, âgé de 57 ans, est plus que motivé à mener sa nouvelle tâche à bien.
Le commandant en chef a sous ses ordres tous les départements de la Section 2002. Il a son mot à dire sur toutes les opérations que mène la section. C’est lui qui a le dernier mot sur une demande d’affectation ou sur la promotion en grade d’un de ses hommes. Il est en relation directe avec le Haut Commandement des Opérations Spéciales de l’Armée de la République. Le commandant en chef est libre sur le choix des opérations, tant qu’elles protègent les intérêts de la République et ne compromettent pas le Traité de Coruscant. C’est le patron des contrebandiers qui travaillent pour la section. Il est aussi la personne habilité, avec le chef du Concile Jedi, a donner des ordres aux Jedi. Par ses fonctions de commandant en chef, il est le chef des forces armées et le dirigeant de la cellule de renseignements. Même s’il délègue aux officiers de chaque département, il en est responsable et à toutes autorités sur chacun d’entre eux.
Concile JediA la demande des autorités républicaines, le Conseil Jedi a consenti à envoyer un soutien, certes modeste, auprès du Colonel Bucro. Le Concile Jedi est composé de Jedi s’étant portés volontaires, et leurs padawans, pour assister la Section 2002 dans ses missions, et ce de différentes manières suivant leurs formations variées. Que ce soit au niveau des compétences diplomatiques, du soutien sur le terrain en tant que combattants ou pour porter les premiers soins, leur polyvalence en fait des alliés précieux. Sur le terrain, les Jedi sont dispatchés au sein des différentes escouades en fonction des impératifs de la mission. Le Concile demeure sous l’autorité suprême du Conseil Jedi, auprès duquel il doit rendre des comptes de manière régulière concernant le déroulement des opérations, mais aussi la formation des padawans qui en font partie. Si la situation le nécessite, un effectif de Jedi réservistes du Concile est aussi disponible, agissant le reste du temps pour les besoins de l’Ordre.
Intendance et LogistiqueCe département est chargé de procurer de l’équipement, de l’armement et des vivres aux hommes de la section. Il peut faire appel à des contrebandiers, qui travaillent pour la République, remplaçant les transports de l’Armée. Ils sont aussi utiles pour emmener les troupes de la section sur le lieu de leur mission dans l’espace non-occupé par la République.
Ce département consacre une petite partie de ses efforts à mener des recherches visant à améliorer les armes et les armures. Malgré les moyens limités, il fait tout pour fournir des équipements performants aux troupes de la section.
Un sous-officier, affecté à l’Intendance, veille à ce que chaque soldat de la section reçoive sa solde venant du Haut-Commandement des Opérations Spéciales. C’est aussi lui qui est chargé de payer les contrebandiers pour le travail fourni.
Cellule de RenseignementsLa cellule des Renseignements fut la deuxième priorité du Colonel Bucro lorsqu’il travailla sur le projet de la Section 2002.
La cellule de Renseignements est l’un des départements important de la section. Les soldats, qui font partie des renseignements, sont spécialisés, entre autres, dans l’infiltration, la surveillance, la récupération de données, les interrogatoires, le repérage. Leurs agents sur le terrain sont généralement des contrebandiers qui fournissent des informations qu’eux seuls arrivent à se procurer.
L’effectif de la cellule à la charge d’alimenter la base de données interne à la section, et de s’assurer de la validité des informations qui la compose.
Lors d’un briefing, un soldat de la cellule fournit les informations dont ont besoin les forces armées de la section. Durant la mission, il se peut que des hommes des renseignements participent aux opérations militaires.
Forces ArméesDurant l'élaboration de la Section, l'effectif militaire nécessaire aux opérations prévues par le Colonel Bucro fut l'un des plus importants chantiers de réflexion. En effet, devant l'imminence d'une reprise des conflits avec l'Empire, le colonel ne pouvait baser le recrutement des soldats de la Section sur un projet de formation standard : il fallait au colonel des militaires expérimentés et aguerris, déjà rompus aux techniques de combat et d'opération les plus diverses.
Véritable nerfs centraux chargés des missions sur le terrain, les hommes des Forces Armées de la Section 2002 sont des soldats d'expérience, triés sur le volet, aptes à mener toute mission ordonnée par le Haut Commandement et à combattre pour la République quelle que soit la situation qui se présente à eux. Organisées en petites escouades autonomes à effectif mobile, les Forces Armées de la Section comptent parmi les unités de combat les plus polyvalentes de la Grande Armée de la République, pouvant aussi bien combattre aux côtés de régiments d'infanterie classiques ou en missions isolées et à effectif réduit.
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Contrebandiers de la RépubliqueLorsque le blocus mandalorien fut détruit, huit ans avant le Traité de Coruscant, la République se découvrit de nouveaux alliés en la personne des contrebandiers. Certains d'entre eux finirent même par s'engager activement dans la lutte contre le despotisme de l'Empire.
Le Colonel Bucro fit quelques recherches durant l’élaboration du projet de la Section 2002, et il en vint à cette inéluctable conclusion: il avait besoin de contrebandiers pour accomplir certaines missions périlleuses. Il connaissait leur audace, leur propension à toujours vouloir se mettre en avant, ainsi que leur opportunisme. En cela, le Colonel Bucro avait toutes les cartes en main pour négocier avec eux.
Les contrebandiers ayant épousés la cause de la République s'avéraient être des alliés de premier ordre, et ce, au sein même de la Section: ils soutenaient brillamment les forces armées sur le terrain (logistique, reconnaissance, transport de troupes, etc...).
Dans l'esprit du Colonel, les contrebandiers représentaient un atout majeur. Ce fut donc sans surprise qu'il négocia au préalable avec le Haut-Commandement des Opérations Spéciales, la possibilité de faire signer des contrats d’engagements dans l’armée aux contrebandiers désireux de s’impliquer plus avant dans le combat contre l’Empire Sith.
Opérations Spéciales de l’Armée de la RépubliqueAu sein de la Grande Armée de la République, deux corps d'armée se distinguent des autres. Si les hommes des Forces Spéciales du Général Garza sont désormais connues pour avoir combattu l'Empire dans les situations les plus extrêmes, il incombait aux Opérations Spéciales de l'Armée de la République de mener les missions les plus dangereuses.
Parfois amenés à agir au coeur même de l'Empire Sith et des mondes sous sa domination, les agents des Opérations Spéciales sont entraînés à mener des missions qui vont parfois bien au delà des normes militaires habituelles, et ce afin de combattre l'ennemi là où la force militaire classique n'aboutirait à rien. De l'infiltration aux opérations de sabotage les plus risquées, les Opérations Spéciales vont là où aucun autre corps d'armée de la République ne pourrait aller afin de résoudre les situations les plus périlleuses et combattre l'ennemi de l'intérieur.