M'haeli [RP - Problème mineur]

La Décente vers la planète se passa sans encombre pour Tsukiyo, elle fut même surprise par la souplesse et la maniabilité du vieux Aurek qui n'avait apparemment rien à envier au chasseur modernes malgré l'indisponibilité de certains systèmes clé, comme les détecteurs, l'armement, les écrans déflecteurs ...
Elle ne pouvait même pas savoir si ces deux camarades suivaient ...
Elle recu bientôt une communication apparemment pré-enregistrer lui demandant une identification sous peine d'être abattu ... bravo pour la discrétion, qu'allait elle leurs dire maintenant ?. Elle répondit là première chose qui lui passa par la tête :

- Nous sommes la délégation Républicaine envoyé négocier le partage de la planète avec l'Empire ...

Elle avala sa salive et remarqua que de la fumée s'échappait d'un vaisseau de leurs groupe ...

- ... un de nos vaisseau a subie une avarie et nous allons devoir atterrir d'urgence hors du spacioport ...

Ridicule, qui serait assez bête pour croire à un crac aussi nul ...
Enfin, ça leurs laisserai, dans le pire des cas, assez de temps pour atterrir en catastrophe, et dans l'hypothétique probabilité que l'officier de contrôle soit un débile profond, il pourrait atterrir a leurs guise, elle envoya tout de même un message à ses deux camarade :

- Kresh', Guarg, vous avez sans doute entendu la "conversation" avec la tour de contrôle ?, ont vas peut'etr... sans doute avoir deux trois pépins, je vous conseil de descendre doucement vers le sol, moins y a de hauteur en cas de chute, mieux c'est ...

Dès qu'il eu traversé l'atmosphère, Keidan resta bouche bée devant l'immensité des montagne qui s'étandaient à perte de vue.
En suivant de près le vaisseau de Kreshtar, il fut tiré de sa contemplation par un mouvement brusque de celui-ci. Le coeur du Jedi s'emballa, de peur que la situation tourne mal, mais rien de plus ne se produit.


"Bienvenue sur M'Haeli. Identifiez vous avant toute tentative d'atterrissage. Si vous tentez quoi que ce soit, sachez que les tourelles de surveillance du grand Empire Galactique sont pointées sur vous. Passez une agréable journée." Annonça une voix féminine.

Le chevalier s'était attendu à se que leur arrivée ne passe pas inaperçu, la planète étant sous contrôle de l'empire. La voi de Tsukiyo résonna bientôt dans son cockpit. Elle avait l'air inquiète. Keidan appuya sur le bouton de transmission puis répondit à la transmission automatisée:

"Nous sommes les trois éclaireurs républicain venu enquéter sur la disparition de la délégation qui devait être présente pour la négotiation avec l'empire au sujet des revenus miniers."

Keidan chercha ses mots avec attentions, avec l'empire, on avait pas le droit à l'erreur.


"Le grand moff Humera, dirigeante du troisième quart de flotte du seigneur Malgus est au courant de notre venu ici."

Une fois dans l'espace, Kreshtar se mit à rêvasser sur ce qui allait leur arriver une fois atterri. Il s'alluma une clope en voyant que tout se passait bien et félicita intérieurement le mécanicien qui avait fait du bon taf, son vaisseau n'ayant pas eu de problème au moment du décollage et de la traversée dans l'espace. Une fois ces deux composantes effectuées sans avaries, Kreshtar se laissa aller et autorisa le pilote automatique à effectuer le reste du trajet. Malheureusement, il fut obligé de s'occuper du vaisseau dès qu'il fut rentré dans l'atmosphère de la planète car son tableau de commande vira au rouge dès lorsqu'il pénétra dans cette dernière... Il réactiva le pilotage manuel, pensant que le soucis venait d'une erreur de calcul de direction au niveau de l'atterrissage, mais cela ne changea rien au seuil d'alerte assez évolué de son vaisseau.

En soupirant fortement, il activa son ComLink :

- Tsu ! Keidan ! Mon moteur babord fait des siennes ! J'imagine que vous l'avez déjà remarqué mais je tiens à vous préciser que j'ris....


Kreshtar, n'ayant pas conscience du souci de transmission, dériva tant bien que mal sur une zone assez dégagée de la planète qui était vierge de toute présence civilisée... Il marcha en direction des balises de positionnement de ses camarades et réussi, en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, à retrouver ses camarades et à entendre ce qu'ils avaient entendu des communications :

Ces derniers lui expliquèrent les transmissions qu'ils avaient reçues et, parallèlement, Kreshtar leur expliqua que son vaisseau avait des avaries qui nécessitaient des pièces spéciales pour qu'il puisse repartir vers l'Heimatlos une fois la mission terminée.

N'ayant que faire de ses soucis matériels, ses collègues lui expliquèrent que la mission primait sur tout et qu'il fallait absolument savoir ce qu'il se passait sur cette planète et pourquoi leur expédition était primordiale comparée à une simple avarie.

Kreshtar opina du chef et suivit alors le mouvement en pensant, au fond de lui, qu'il y aurait bien moyen d'obtenir les pièces de rechange pour réparer l'avarie banale de son vaisseau personnel.

Les comlinks du commando sonnèrent.
La voix de Cesix ,se fit entendre

"Groupe Alpha ici Heimatlos ,
Nous vous signalons qu'un groupe rebelle ,ennemis impériaux ,seraient prêts a vous aider.
Vous avez pour mission de les rejoindre dans le spatioport ,et d'attendre près d'une caisse marqué d'une croix rouge.
L'Empire semble faire enormement de contrôle ,faites gaffe.
Néanmoins ,ils ne sont pas très enclins a devenir des alliés de la République, pas de gestes inutiles!
Est-ce un message recu Groupe Alpha ?"

Après avoir sauté de son vaisseau, Keidan regarda tout de suite en direction de celui de Kreshtar.
Il était mal en point, mais au moins avait pût se poser sans causer de dommage à son pilote.
Appaisé, le jedi se retourna vers le major Tsukiyo et la vit elle aussi saine et sauve.
L'empire n'avait donc pas pris le risque d'agir à l'encontre du grand Moff.
Une fois réuni, les trois compagnons se regardèrent quelque instant, puis Keidan rompit le silence:


"Je supose que vous avez reçus le message de Cesix. Nous avons rendez-vous dans le spatioport près d'une caisse portant e croix rouge. Une fois sur place un des rebelles entrera en contacte avec nous."


Tout en parlant, le jedi faisait machinalement tournoyer le manche de son sabre au dessus de sa paume.
Il tournoya encore quelque instant, puis se reposa lentement au creux de sa main.
Keidan repris la parole:


" Je propose que nous y allions sans tarder. Nous verrons plus tard pour ton vaisseau Kresh si tu est ok. Je ne pense pas que nous disposons de beaucoup de temps avant que l'empire ne se rendre compte que nous somme entrés en contacte avec les rebelles."

Kreshtar hocha de la tête en entendant Keidan dire qu'il faudrait pas tarder à bouger du lieu de l'atérissage, il pensait lui aussi qu'il était préférable d'aller voir ces rebelles au plus vite. En espérant qu'ils soient réellement de leur côté....

- J'suis d'accord, allons y de suite. Au vu du message de Cesix, on devrait être attendus. Avec un peu de chance je trouverais les pièces nécessaires pour faire repartir ce tas de feraille.

Il garda pour lui son pessimisme quand à la possible traitrise de ces "rebelles" il n'avait pas envie de foutre le bordel alors même qu'on ne les avaient pas encore vus.

- Normalement, je devrais juste avoir besoin d'un durite en permacrète et d'un nouvel injecteur de gaz liquide au vu des avaries de mon moteur. Si jamais on en trouve dans leur base, je devrais pouvoir réparer ça provisoirement pour parvenir au vaisseau mère sans trop d'emmerde. Par contre le mécano qui a touché à mon bébé, il va voir comment on s'occupe des traitres chez moi...

D'ailleurs faudrait peut être leur renvoyer un message à la base pour les prévenir que je suis presque sûr que mon vaisseau a été saboté ? Ils n'ont pas besoin d'une taupe je pense. Tsukiyo tu peux t'en occuper ? On avancera en même temps pour éviter de perdre du temps.

Après avoir fini sa phrase, Kreshtar sorti un petit boitier de sa poche intérieur, en sortit une clope et l'alluma.

- Ok Kresh' je m'en occupe tout de suite.

La jeune femme remonta sur sont Aurek et activa son système com. en prenant bien soin de crypté son message.

- Tsukiyo a Heimatlos, l'appareil de Kreshtar a subie une avarie qui l'empêchera de retourner au vaisseau. D'après lui, il y a une forte probabilité de sabotage. Je répète, forte probabilité de sabotage.

Elle descendit de son vaisseau et s'adressa a Kresh'.

- C'est bon, c'est fait on se met en route ?

Lorsqu'ils arrivèrent au hangar, Keidan s'arreta et regarda autour de lui.


"Ils se moquent de nous ou quoi? Un caisse... Il y en a partout!"


Ils y avait des caisses empilées jusqu'au plafond, et leurs dispositions étaient telle qu'il serait facile de se perdre entre toutes les rangées.


"Ce n'est pas un jeux enfin! Comment veulent-ils qu'on leur viennent en aide si nous ne savons même pas où les trouver!"


Soudain, Keidan s'empourpra, un peu honteux.


*Il n'y a pas d'émotions, il n'y a que la paix.* Se rappella t-il.

Sous le regard de ses compagons, le jedi ferma les yeux et se concentra. La force lui donnait une vision bien plus grande de son entourage. Il la laissa courir à travers lui, lui révélant toute sorte d'informations. Il senti la presence de Kreshtar et Tsukiyo à ses cotés, mais également celle des ouvriers qui se trouvaient dans le hangar. À travers tout cela, Keidan parvint à trouver se qu'il cherchait. La dite caisse se trouvait dans une impasse formée par les caisses elles-mêmes, assez éloignée des patrouilles impérial.
Le chevalier ouvrit les yeux.


"Tsu, Kresh, suivez-moi, je sais où elle se trouve."

Alors que Keidan fermait les yeux après ce qui ressemblait à un bref instant d'emportement, Kreshtar se mit à calculer sur ses doigts pour tenter de trouver la caisse. Son visage fermé reflétait une intense réflexion. Puis son visage s'illumina. Alors qu'il allait parler, Keidan leur dit, à Tsukiyo et lui, de le suivre. Il lui emboita donc le pas et se dirigea dans la direction que Keidan prenait.

En descendant les escaliers qui s'étaient devoilés, Keidan suivait l'homme de près. Il ne doutait pas une seconde que ses deux camarades doutaient eux aussi qu'ils ne tombent dans une embuscade. Le jedi fit appelle à la force pour sonder l'esprit de l'homme encapuchonné, mais il ne trouva aucune émotion qui aurait put le trahir. Le groupe arriva bientôt près d'une porte, la tension était à son comble lorsque le rebelle tourna la poignée. Mais se qu'ils virent auta tout soupsons, du moins pour se qui était de l'embuscade, de l'esprit de Keidan. Le brouhaha qui regnait dans la salle était assourdissant. Tous s'affairaient entre les différents holo-cartes et écran radar.



-Bienvenue dans la résistance !


Voyant l'expression qu'abordait leur guide, Keidan se detendit. Dès qu'il eu finit ses explications, le jedi pris la parole.



"Bien, enchenté de vous connaitre. Je supose que vous savez pourquoi nous sommes ici. Nous devons au plus vite retrouver nos emissaires, si vous nous aidez, peux être pourront nous nous occuper de l'empire, cela ferait d'une pierre deux coups...

Alors qu'il descendait les escaliers, Kreshtar se demanda brièvement s'il était vraiment sage de suivre cet inconnu dans un couloir aussi sombre sans avoir au préalable vérifié son identité. Il lança un bref regard vers Keidan et, voyant que ce dernier ne semblait pas nerveux le moins du monde, se dit qu'il pouvait avancer en toute tranquillité. Au bout d'un moment, une porte s'ouvrit et tout doute s'envola immédiatement. Ils étaient dans une sorte de grande base souterraine qui fourmillait d'activité. Personne ne semblait prêter attention à leur arrivée. En embrassant du regard l'ensemble de la salle qui s'étalait sous ses yeux, Kreshtar sentit qu'ils avaient frappés à la bonne porte...ou alors, si c'était un simulacre, il était rudement bien fait.

Après avoir écouté le guide, Keidan entra dans le vif du sujet. Kreshtar sortit alors son petit étui noir, en sortit un cigarette et l'alluma. Puis il enchaîna directement après Keidan sans laisser au guide le temps de rétorquer :

- J'aurais besoin de pièces de rechange pour mon vaisseau. Comme tout se paye, surtout en ces lieux et dans votre situation, je peux vous proposer un marché qui vous serait profitable. Mais vous vous doutez bien que je n'en parlerais qu'à votre chef. Je suis sûr que si vous lui faites parvenir ce que je viens de vous dire, il se hâtera de venir.

Kreshtar expira un nuage de fumée opaque et se tut, scrutant le visage de son interlocuteur. Il tourna légèrement la tête sur le côté pour regarder Keidan et Tsukiyo et leur faire comprendre, par un léger sourire que leur guide ne pouvait voir, qu'il savait ce qu'il faisait.

Tsukiyo avança sans un mot. Elle n'avait aucune confiance en ce type qui les avait emmenés dans cet escalier moisie. Elle garda tout de même ça pour elle et continua à avancer en silence. Le Type ouvris alors une porte et fis entré l'équipe dans ce qui ressemblait à un QG. Bien que la jeune femme fut très impressionnée par le fait qu'une bande de mineur et de fermier ai réussi a s'organiser comme cela, sa fierté maladive l'empêcha de le montré et elle se contenta d'emmètre un petit <hum> dédaigneux.

-Bienvenue dans la résistance !

Et en plus ils se prennent au sérieux, comment une pauvre bande de pécore pourrait elle se défendre seul contre l'empire Sith ?, en voyant leurs grands aire Tsukiyo avait la rage, il avait l'air d'oublier QUI versait son sang pour défendre leurs misérable petite vie et leur évité la tyrannie, surement pas eux en tout cas ...

- tss

A présent Kresh' voulais négocier avec eux, il avait l'air sur de lui ... de tout façon même si elle n'était pas d'accord elle n'avait pas son mot a dire, elle n'était pas en charge de l'opération. Elle se contenta alors d'aquiésser d'un léger mouvement affirmatif, mais peut convaincu de la tête.

Deux ou trois heures ... il fallait attendre deux ou trois heures dans cette pièce immonde que le chef de leurs bandes de rigolo daigne montré son auguste face de Wookie ...
Elle s'assit donc sur une couchette et appuya son dos contre le mur. Elle fut tout à coup prise d'une profonde nostalgie. Les images du passé commençait à défiler devant ses yeux. Par instinct Sa main se porta dans la sacoche qui était accrochée à sa ceinture. Elle en sortie son ancienne arme, son sabre laser qu'elle avait gardé. Une relique a laquelle elle tenait sans doute plus qu'à sa propre vie. Elle fit plusieurs fois courir son doit le long du manche jusqu'à ce que ce dernier s'arrête sur le bouton d'activation. Elle eu tout à coup un franc sourire, un sourire qu'elle ne faisait jamais et qu'elle ne ferait sans doute plus jamais.

- Kresh', tu te souvient nôtres première mission ensemble sur Tatooine ? ...

Elle perdit tout à coup son sourire.

- Ce jour là on a presque perdu nos vies, on est passé a deux doit d'y rester. Je ne sais pas si se sentiment et très répandu parmi les Jedi, car je n'ai jamais osé poser la question. Mais ce jour la ...

Elle était perdu dans ses pensées

- ... oui, ce jour la j'ai connu la vrais peur et la souffrance. Je ... crois que c'est là que tout a commencé ... le début de la fin.

Elle activa la lame de son Sabre, la pièce fut tout de suite illuminé d'une douce lueur verte, cette lueur dans laquelle Tsukiyo aimait tant se perdre.elle gardé ses yeux rivé sur sa lame et réfléchie à sa vie ...

- Ce jour la j'ai eu peur, j'étais en colère contre ce sith ... contre tous les sith, puis je les ai haïs pour tout le mal qu'ils m'avaient fait, mais malgré ma haine je n'ai pas pu ... sauvé ceux que j'aimais et cette haine s'est ensuite transformé en souffrance ...

Elle ferma les yeux et se concentra sur le bourdonnement de sa lame.

- Voilà, tout est claire, ma peur m'a mené à la colère, ma colère m'a mené à la Haine, ma haine m'a mené à la souffrance et ma souffrance ... je crois que je n'ai pas à me leurré ... j'ai bel et bien franchis le pat pendant un moment, j'aurai du m'y attendre avec mon tempérament, je ne pouvais pas résister bien longtemps au ...

Elle en avais trop dit, submergé par ses souvenirs et envoûté par la lumière de son sabre elle avait tout déballer, elle coupa court.

- Enfin, ça c'est passé comment de vôtres côté ?, quand on s'est dispersés ?

Le Jedi s'assit sur une couchette, et fit tournoyer le manche de son sabre au dessus de sa paume, comme à son habitude. Sa l'aidait à se calmer, et voir les choses plus claire.

Mais lorsque Tsukiyo se fut installer, elle fit quelque chose au quelle il ne s'attendait pas.
Il l'écouta, et se demanda se qui avait put provoquer cette soudaine déclaration. Il était rare de la voir déclarer ses sentiments, elle qui avait pour habitude des les enfouirent au plus profond d'elle même. C'était la première fois qu'il l'entendait raconter cette histoire, mais il ressentait toute la souffrance qui se dégager d'elle.

Kreshtar était resté pensif un sacré bout de temps, il réfléchissait aux paroles de Tsukiyo. Oui il se souvenait comme si c'était hier de cette mission où ses compagnons... il rectifia mentalement... ses meilleurs amis avaient tous failli perdre la vie. Lui compris. Il se souvenait de cette course effrénée cherchant à trouver un médecin pour rétablir Salao qui s'était pris un sale coup... Il se souvenait de cette peur qui lui avait vrillé les entrailles, mais aussi de cette exaltation qui s'était emparée de lui lorsqu'en fin de compte le bilan fut plutôt positif.

Il regarda Tsukiyo et vit qu'elle le fixait. Il pris alors la parole :

- Ben moi j'ai passé quelques temps à ruminer dans mon coin. J'ai eu du mal à me résigner à propos de ce qui s'était passé...Mais j'ai finalement réussi à tourner la page et... que ce soit le destin ou la Force, j'ai réussi à tous vous retrouver. On s'est bien fait laminer d'ailleurs mais à toute chose malheur est bon ! J'ai repris foi en notre combat depuis et c'est bien pour ça que j'suis ici avec vous !

Il regarde Tsukiyo puis Guarg dans le blanc des yeux.

- Nous faisons parti d'un groupe solide et forgé par les liens du sang. Jamais plus un tel malheur ne nous arrivera car même en ayant enduré des passages difficiles, nous avons réussi à garder la tête haute ! Nous sommes Heimatlos désormais et c'est avec une grande fierté et un grand honneur que j'arbore ce blason désormais. Nous allons réussir à éliminer toute la pourriture qui gangrène notre bonne vieille république et ses ennemis. Nous avons de quoi être fiers de ce que nous avons construit.

Sur ces mots, il s'assit dans un siège non loin et s'alluma une clope en attendant le comité d'accueil.